Les examens
INTRODUCTION :
Depuis notre très jeune âge, nous sommes évalués à l’école maternelle, puis notés à l’école primaire et secondaire où nous expérimentons en fin de troisième le premier examen : le brevet des collèges.
Déjà, la pression de l’examen est apprise, car c’est l’argument utilisé par les enseignants pour évaluer l’élève. Toute l’année, l’adolescent entendra : « si tu continues comme ça, tu n’auras pas ton brevet », et les parents angoissés prennent le relais.
Alors que manque-t-il pour que l’adolescent résiste à cette pression sans perdre ses moyens et sans inscrire durablement l’examen comme une épreuve, une sanction ?
- La première condition serait que les apprentissages soit perçus comme une source de plaisir et d’enrichissement personnel et non comme une obligation de la société et de l’éducation nationale.
- La deuxième condition serait que les apprentissages s’effectuent selon le rythme de chaque élève, car apprendre demande d’être disponible et au moment de l’adolescence, il y a tant d’enjeux que parfois, les priorités de l’élève ne sont pas celles de l’école.
- La troisième condition serait que les apprentissages ne soient pas utilisés comme le révélateur de ce qu’est l’adolescent, et que la différence soit faite entre les comportements, les attitudes et le jeune.
- Un ado peut avoir une attitude provocatrice, peut ne pas se mobiliser pour apprendre et être un bel être humain avec des valeurs puissantes. Nous observons que ce n’est pas ainsi et que cet être humain devient provocateur et nul à l’école. Quel dommage de stigmatiser comme cela un humain en construction et en évolution. Car ensuite, cet ado n’aura plus l’espace d’être perçu différemment et à jamais il portera cette réputation et ne trouvera pas d’échappatoire.
C’est ainsi que notre société s’y prend pour donner le goût d’apprendre. L’école de la république, cette si précieuse institution a de plus en plus de difficulté à jouer son rôle d’ascenseur social.
Notre société évolue et si elle apporte par son modernisme plus de confort matériel, elle laisse de côté l’essence même de qu’est l’être humain.
Et pourtant, la recherche en psychologie démontre qu’un enfant peut être en difficulté d’apprentissage pour des raisons de troubles émotionnels, de souffrance familiale….. et non par manque de capacité intellectuelle.
La recherche en psychologie insiste sur les méthodes d’apprentissage en indiquant de quoi un être humain a besoin pour être en condition d’apprentissage positive et comment il peut accueillir positivement les enseignements. Et pourtant, les enseignants continuent à disqualifier les élèves, à leur signifier leurs insuffisances, plutôt que de pointer ce qui va bien, et exprimer les efforts encore à faire.
LES REMEDES POUR REUSSIR
Je propose aux élèves, quelque soit leur âge, un programme afin de leur permettre de se restituer, et de retrouver leurs ressources afin d’être dans des conditions optimales de réussite personnelle.
- 1ère consultation : Séance de PBA : En évacuant les blocages émotionnels, la personne va pouvoir fonctionner selon sa personnalité et non plus selon des programmes inconscients liés à des expériences passées. Le jeune va retrouver de la confiance, de l’estime de lui, de la concentration ce qui est essentiel pour réussir.
- 2ème consultation : Séance de PBA afin de vérifier que tous les blocages ont été évacués et entretien thérapeutique afin de réajuster les croyances à propos des parents, de la société de l’école et de l’avenir. Des fiches de circuits d’acupressure sont remises au jeune afin qu’il se maintienne dans de bonnes énergies. En effet, si le jeune est anxieux, stressé, qu’il se met de la pression, qu’il est émotif, il sera alors comme un ordinateur qui a un virus. Il fonctionnera mal.
- 3ème consultation : Coaching méthodologique : comment le jeune apprend, révise, comprend les consignes……, les difficultés rencontrées……
Ce programme fonctionne très bien et donne de merveilleux résultats, sous réserve que le jeune effectue les apprentissages, et travaille les matières.
Laurence NURY